La rencontre

Mar 17 Mar 2009 - 1:47

Il y a des jours, comme ça, qui paraissent anodins et qui, pourtant, vont renverser le cours de l'Histoire de la Magie.

C'est le cas de ce matin de décembre, où Godric Gryffondor...

(allez, on tente le thème!)

Jeu 19 Mar 2009 - 14:25

...entra dans une taverne dans l'espoire d'y trouver....

Et tentons de ne pas virer GGSS cette fois, pas que ce soit déplaisant, ceci-dit.

Sam 21 Mar 2009 - 0:25

... de quoi oublier ses malheurs. En effet, une fois de plus,...

(Promis juré! xD)

Lun 30 Mar 2009 - 13:44

, le jeune chevalier s'était ridiculisé auprès d'une jouvencelle qu'il convoitait depuis quelques temps. Il avait ...

bien commencé, pourtant, la couvrant de fleurs, la faisant rire, approche en douceur... mais à l'instant fatidique, il avait fallu...

qu'il gaffe. Ce n'était pas de sa faute s'il ignorait qu'elle était la fille d'un homme qu'il s'était promis d'occire pour le punir de l'avoir trahi lors d'une bataille. Et ce n'était pas de sa faute non plus s'il avait été trop bavard et qu'il avait crié à qui voulait l'entendre qu'il débarrasserait bientôt la contrée voisine de ce félon - enfin, si, ça c'était de sa faute. Il faut dire que si Godric était un excellent chevalier, niveau discrétion, il avait encore de nombreuses leçons à apprendre. Résultat, la damoiselle - bien que le terme n'était peut-être pas approprié pour un jeune femme avec aussi peu de vertu - l'avait giflé puis était partie en jurant que c'était son père qui débarrasserait la contrée de "cet imbécile de Gryffondor sans cervelle".
Et maintenant,

... il était tout seul, la joue en feu, et il ne pourrait pas retourner dans cet autre taverne avant un moment, sous peine de subir encore quolibets et railleries.
Dommage! Ils avaient un fabuleux hydromel.
Tiens, puisqu'on parle d'hydromel...

...il avisa un jeune homme qui devait avoir environ son âge, et dont le teint pâle et les longs cheveux lisses et noirs contrastaient de manière singulière avec son teint doré et ses boucles blondes. A ses côtés se trouvait une jeune femme pulpeuse doté d'une magnifique crinière rousse et de deux yeux verts brillants. Il se dit que ces deux beaux inconnus devaient mourir d'envie de lui en offrir une coupe.
Il bouscula, dans sa hâte, une demoiselle au teint mate, au nez busqué, très belle et de type oriental, qui se tourna vers lui d'un air furieux en faisant tournoyer sa longue chevelure brune. Son visage s'éclaira néanmoins en voyant celui du jeune homme.

- Godric, cela faisait un moment.

- Tiens, ma chère Rowena. Je ne t'ai pas fait mal ?

- Non, mais pour te faire pardonner du désagrément, accepterais-tu de me payer à boire ?

- Bien sûr, suis-moi.

Escorté de son amie, il rejoignit la table qu'il lorgnait deux minutes avant, demanda l'autorisation de s'asseoir aux occupants avec un grand sourire charmeur et la prit avant même d'obtenir une réponse.
Il s'enquit ensuite du nom de ses deux vis-à-vis, question à laquelle la jeune femme rousse répondit avec plaisir et chaleur.

- Je me nomme Helga Poufsouffle, et mon compagnon est Salazar Serpentard.

(Désolée pour leur aspect, je ne sais pas si il y a une description détaillée d'eux quelque part, mais je les imagine comme ça)

Ne t'en fait pas pour ça, Kali, on ignore tout des Fondateurs; la seule chose qu'on sait, c'est leurs noms et l'époque où ils ont vécu...

-Voici, Rowena Serdaigle, et moi, je suis Godric Gryffondor. Enchanté de vous rencontrer.

Helga, Godric et Rowena faisaient connaissance autour d'un verre tandis que Salazar, lui, ne disait rien et se contentait de jeter un regard noir aux deux nouveaux venus.

Un regard qui n'était d'ailleurs pas noir mais d'un très beau gris-bleu lumineux et assez troublant. Les pupilles mordorées de Godric s'ancrèrent un moment dans les siennes, avant que le pâle jeune homme détourne brusquement le regard.

- Tsss !

Rowena, elle, se posait des questions. Par quel étrange hasard un homme aussi froid et qui semblait parfait dans le rôle du solitaire partageait sa table avec une jeune femme aussi douce et chalereuse que la rousse avec qui ils parlaient ?

Et pour être chaleureuse, Helga l'était. Et c'était peu dire. Elle "harcelait" littéralement Godric et Rowena de questions plus ou moins indiscrètes.

Ce thème ne m'inspire pas des masses... Dommage, c'est pourtant intéressant !

Questions auxquelles Godric répondait avec plaisir, tout aussi bavard que la demoiselle, donnant un discours de fous :

-Tu préfères le rouge ou le bleu? C'est quoi ton animal préféré? Elle s'appelait comment, celle qui t'as collée la marque rouge sur ta joue? Tu me trouves bavarde, franchement?
-Le rouge, et toi? Le Lion, et je dirais que tu aimes les animaux plus calmes, Amélia, une beauté farouche, pas plus que moi, tu as quel âge?
-Plutôt le jaune, mais en fat j'avais deviné, oui, tout à fait, elle a de la boue dans les yeux cette fille, ça se demande pas à une dame...

Ect, donnant vite un mal de crâne aux deux autres, bien que chacun ordinairement habitués aux bavardages de son camarade...

[...]ils ne supportaient tout simplement pas la combinaison des deux voix qui ne cessaient de jacasser et de rire bruyamment.
Préférant laisser les deux pipelettes ensemble, Salazar et Rowena s'éloignèrent pour rejoindre un table isolée au fond de la taverne.
Oh, ils ne se parlèrent pas beaucoup mais lorsqu'un d'eux ouvrait la bouche, c'était pour parler intelligemment. Ils discutèrent un peu des nouvelles découvertes en matière de potions et des derniers traités de Magie Avancée écrit par le grand sorcier de l'époque, Théodebert Iltud. Une conversation que Godric et Helga auraient sans doute trouvée ennuyante à mourir.
Godric qui d'ailleurs avait l'air de trouver Helga charmante si l'on en croyait sa manière de se comporter avec la jeune sorcière.

Soudain, un individu entra dans le pub et s'arrima au comptoire d'unn air patibulaire, il héla le patron et commanda de l'hydromeL. Ensuite, il remarqua Godric et...

Dim 6 Sep 2009 - 18:52

[Ensuite, il remarqua Godric et...], un sourire mauvais accroché à ses lèvres, il se dirigea vers la table du jeune chevalier.
-Gryffondor !

Quelle inspi' ^^

Ven 18 Sep 2009 - 17:26

-Présent! fit spontanément l'homme. La réponse était automatique dès qu'on l'appelait, au plus grand désespoir de Rowena.

L'air joyeux du Lion fondit soudainement lorsqu'il reconnût l'homme qui s'approchait.
Intriguée, Helga observa le nouvel arrivant qui avait accompli l'exploit de faire se taire son nouvel ami.

-Alors, Gryffondor, ...

Lun 2 Nov 2009 - 21:06

[-Alors, Gryffondor,] tu fais pleurer ma fille?, tonna l'homme à la mine patibulaire

Salazar et Rowena s'étaient approchés, prêts à intervenir en cas de besoin, sur le conseil de cette dernière qui ne connaissait que trop bien la capacité de Godric à s'attirer des ennuis.

- Eh bien, tu as perdu ta langue? Parfait, je ne serai pas obligé de te la couper pour te donner une leçon...
-Comment ose-tu t'approcher de moi, félon?, s'indigna Godric. J'ai juré de t'occire, et...

... je le ferai! (quoique si tu m'accordes la main de ta fille, je pourrai, disons... t'épargner?)

Rowena observait la scène, complètement blasée.
Ce n'est pas comme si ce genre de choses n'arrivait jamais... non, c'était même étonnant que l'homme vienne tout seul défier Godric. Parfois, ils arrivaient par groupes de douze...

Les deux hommes...

(Arwen a décidé de upper tout les topics... Bonne chance Arwen...)

[Les deux hommes] se regardaient en chiens de faïence, bien que Godric ne trouve rien de mieux à faire que de se l'ouvrir pour énerver un peu plus son adversaire.

-Alors beau-papa? Tu crois vraiment pouvoir me tuer? J'en doute, ta fille est la seule chose que tu es réussi dans ta vie. Hmmm, merveille de la nature...

Le coup parti tout seul, et ce n'était pas...

[ce n'était pas] "beau-papa" qu'il l'avait donné. Non, la frappe venait de l'arrière et atterrit sur l'arrière du crâne de Gryffondor.

-"Aie!"
"-Godric, pour l'amour de Merlin, vas-tu arrêter de faire l'enfant ?"
"-Mais, Rowie,

[-Mais, Rowie,...] je ne fais qu'énoncer une vérité.
-Et tu ferais mieux de garder tes vérités pour toi, si tu veux rester entier.
-Comme si ce vieux croûton pouvait me faire quoi que ce soit !

Lequel vieux croûton,

[lequel vieux croûton], agacé d'être ainsi ignoré, tenta de

[tenta de] reprendre une contenance, et sortit son épée. Epée qui s'échappa aussitôt de ses mains pour atterir dans celles de Salazar Serpentard

-Monsieur, sachez qu'il est impoli d'attaquer les gens par surprise, commença ce dernier. Surtout si la personne en question est en train de se faire enguirlander comme un enfant de deux ans finit-il sur une note ironique.

Godric, n'aimant pas se faire traiter ainsi ...